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Né le 21 Décembre 1948 à Washington, District of Columbia (Etats-Unis)

Samuel L. Jackson entre au Morehouse College d'Atlanta pour entreprendre des études d'architecture mais c'est avec un diplôme d'art dramatique qu'il en ressort en 1972. Il fait ses débuts au cinéma la même année dans Together for days de Michael Schultz, mais il préfère se consacrer au théâtre en jouant à New York.

Samuel L. Jackson y fait la rencontre de Spike Lee qui, une fois devenu réalisateur, lui confie des petits rôles comme dans Do the right thing (1988) et Mo' Better Blues (1990). Son rôle d'accro au crack dans Jungle Fever (1991) de Spike Lee le révèle au grand public et lui permet d'obtenir au Festival de Cannes le Prix du meilleur second rôle, spécialement créé à son attention. Mais c'est son rôle de Jules, le tueur philosophe de Pulp fiction (1994, Quentin Tarantino), qui le starifie.

Sacré acteur américain le plus prolifique des années quatre-vingt dix, Samuel L. Jackson se voit généralement proposer des rôles de flics (Kiss of death (1994) de Barbet Schroeder ; Négociateur (1998) de F. Gary Gray ; Shaft (2000) de John Singleton) ou de personnages à l'attitude cool (Jackie Brown (1997) de Quentin Tarentino ; Le 51e Etat (2002) de Ronny Yu). Présent dans bon nombre de films d'action à gros budget, il a pour partenaires Bruce Willis (Une journée en enfer (1995) de John McTiernan), avec qui il collaborera à nouveau dans Incassable (2000) de M. Night Shyamalan, Geena Davis (Au revoir, à jamais (1996) de Renny Harlin), Thomas Jane (Peur bleue (1999) de Renny Harlin) ou encore Vin Diesel (xXx (2002) de Rob Cohen).

A l'aube de l'an 2000, Samuel L. Jackson devient l'acteur noir-américain "incontournable" au point que George Lucas lui propose d'incarner Mace Windu dans les trois premiers épisodes de la saga Star wars : Star wars : épisode 1 - La Menace fantôme (1999), Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones (2002), Star wars : épisode 3 (2005). En 2003, Samuel L. Jackson retrouve John Travolta, son partenaire dans Pulp fiction, pour les besoins de Basic, un thriller militaire signé John McTiernan.

Source : allocine